Regardez la vidéo pour savoir ce qu’il se passe quand un être cher meurt et que vous n’êtes pas là.

Vous vous sentez coupable parce que vous n’étiez pas avec votre être cher au moment de son décès.

De plus, vous vous étiez brouillés la dernière fois que vous vous êtes vus, et vous vous sentez affreusement mal de cette situation.

Si vous aviez su, vous lui auriez dit que rien de tout ça n’est grave et que vous l’aimez.

On le sait tous, avec des « si », on coupe du bois… ?

Bref, vous n’êtes pas seul dans ce cas, il est assez fréquent que nos consultants soient accablés de culpabilité comme celle de ne pas être présents au moment de sa mort.

Ces personnes peuvent garder ces pensées punitives pendant des décennies, et peu importe le nombre de thérapeutes ou de médecins qu’elles voient, ou encore le nombre d’amis et de membres de leur famille qui essaient de les raisonner, elles refusent d’enterrer ce sentiment.

Mais qu’en est-il pour votre défunt ? Éprouve-t-il la même chose ?

Je peux vous assurer que tant de choses dont nous nous inquiétons et que nous regrettons n’ont aucune importance pour vos proches de l’autre côté.

Bien qu’ils apprécient l’amour et les soins qu’ils ont reçus à la fin, ils ne se soucient pas des détails comme par exemple s’ils ont été incinérés plutôt qu’enterrés, qui s’est présenté à leurs funérailles, ou même qui était avec eux lors de leur décès.

Rappelez-vous, les morts passent par une révision de la vie, et revisitent toute leur incarnation sur la Terre.

Les relations qu’ils ont chéries, l’amour qu’ils ont partagé, le bonheur et la joie qu’ils ont vécus et les leçons qu’ils ont apprises.

De cette perspective céleste, ils peuvent voir l’ensemble de l’image, pas seulement leurs derniers instants.

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Et toujours, leur souhait le plus profond est que les personnes qu’ils laissent derrière eux soient heureuses, en bonne santé et vivent leur meilleure vie.

Souvent, lorsqu’ils voient un être cher souffrir, les âmes désincarnées cherchent désespérément à lui tendre la main, et c’est là que j’interviens.

Voici un exemple d’un contact défunt.

L’âme du mari de la consultante s’est présentée et a fait savoir qu’il devait lui faire passer un message tout de suite :

« Sa vie s’effondre et je dois l’amener à arrêter les dégâts qu’elle crée avec ses propres pensées. »

Il m’a montré l’hôpital où il a passé ses derniers jours, et j’ai pu sentir qu’il était décédé d’une maladie du foie ou d’un cancer.

« Votre mari me dit que votre vie commence à devenir incontrôlable, est-ce vrai ? Demandai-je doucement. »

« Je suppose que l’on pourrait dire ça ! Il me manque tellement, s’il vous plaît, dites-lui que je suis désolée de ne pas avoir été à l’hôpital quand il est décédé. »

« Vous pouvez lui dire vous-même, car il peut entendre vos pensées. Il me dit que vous attirez des personnes négatives et qu’elles profitent de vous. »

J’ai senti que j’avais touché une corde sensible.

« Votre mari me dit que vous laissez ces gens vous côtoyer parce que vous estimez que vous ne méritez rien de mieux. Vous ne vous vous honorez pas et il s’inquiète pour vous. »

Au fur et à mesure de la lecture, il était clair que la femme avait le cœur brisé de ne pas avoir été avec son mari à la toute fin.

Il m’a fait savoir qu’elle avait été une épouse merveilleuse, et tout ce qu’il voulait, c’était qu’elle se pardonne et qu’elle arrête de se sentir mal à propos de quelque chose qui était hors de son contrôle.

« Elle était tout le temps à l’hôpital, prenant soin de moi, mais un jour, elle avait un rendez-vous et elle est partie, et c’est à ce moment-là que je me suis échappée.

Mais je suis souvent avec elle et je ne supporte pas de voir à quel point elle est méchante avec elle-même. »

Les derniers mots de l’homme à sa femme m’ont touché.

« Elle veut que je lui pardonne, mais en ce qui me concerne, il n’y a absolument rien à pardonner. Ce qu’elle doit faire, c’est se pardonner ! Je l’aime et je suis toujours là avec elle.

S’il vous plaît, dites-lui que je ne suis pas vraiment mort, donc le moment où j’ai traversé n’est qu’un moment parmi tant d’autres, ce n’est pas plus important que le reste du temps que nous avons passé ensemble. »

La voix de la femme s’est adoucie et elle m’a dit :

« Comment puis-je à mon mari que je me pardonne ? Pouvez-vous lui dire et s’il vous plaît, dites-lui aussi combien je l’aime. »

« Dites-lui vous-même, il est à vos côtés, il vous entend. »

Ce moment fut merveilleux et il montrait bien que la culpabilité de sa femme n’avait pas lieu d’être.

On ne peut pas tout contrôler et il ne faut pas essayer.

Les âmes passées à la Lumière se souviennent des choses importantes, comme l’amour et les rires que vous avez partagés.

Elles veulent que ces souvenirs vous réchauffent et vous réconfortent également.

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Si vous ressentez toujours une culpabilité persistante de ne pas avoir été avec votre être cher pendant ses derniers instants, ce n’est pas grave.

Certaines âmes en fin de vie attendent notre dernière visite pour partir seul ensuite.

Cela me rappelle une communication où l’âme désincarnée disait :

« Ne vous en voulez pas de ne pas être là. Je suis entré seul et je voulais partir seul. »

Il y a un merveilleux dicton amérindien qui est vrai :

Quand je suis né dans votre monde, tout le monde était heureux et je pleurais, quand j’ai quitté votre monde, tout le monde pleurait et j’étais heureux.

Alors laissez de côté tous les détails qui n’étaient pas parfaits et pardonnez-vous, sachant que votre proche vous pardonne aussi !

Rappelez-vous simplement de tous les bons moments passés en sa compagnie et quand vous le reverrez, vous comprendrez. ?

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