Le contenu que vous allez découvrir ci-dessous est le fruit de nos nombreuses années d’expérience en tant que médiums et passeurs d’âmes. À travers nos vidéos YouTube, nous partageons avec vous nos connaissances, nos réflexions et nos conseils pour vous aider dans votre cheminement spirituel.

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On lit souvent sous nos vidéos : « T’en sais rien, t’en es pas revenu. » Au début, je répondais. Puis j’ai compris : on ne convainc pas quelqu’un qui ne veut pas regarder. Alors, partons d’un autre angle. Parce que ce que nous appelons “normal” au quotidien est, si on y pense vraiment, bien plus déroutant que l’idée d’une continuité de la conscience après la mort.

Cet article propose un pas de côté : élargir le regard au-delà de notre habitude terrestre et poser calmement des repères. Non pas pour imposer une croyance, mais pour mettre en cohérence ce que des milliers d’expériences (médiumnité, EMI, vécus de deuils, sorties hors du corps) dessinent depuis longtemps.

Un être humain commence par deux cellules invisibles qui fusionnent, se multiplient et, en quelques mois, donnent un bébé avec mémoire, sensibilité, personnalité. Si on entendait cette histoire pour la première fois, on crierait à l’absurde. Nous l’acceptons parce que nous y sommes habitués.

Chaque nuit, nous “disparaissons” de nous-mêmes. Le matin, nous “revenons”. Décrivez cela à une conscience qui ne dort pas : elle trouvera ça extravagant. Nous disons “normal”.

Nous sommes debout sur un rocher en orbite autour d’une étoile en fusion, maintenus par une gravité invisible. Rien de tout cela n’a l’air “rationnel”… tant qu’on n’a pas construit des outils pour le penser.

Conclusion : ce que nous appelons “normal” est souvent seulement ce que nous côtoyons. L’habitude n’est ni un argument scientifique ni un critère de vérité.

Nous ne “voyons” pas les ondes. Pourtant, nous leur faisons confiance car un récepteur (smartphone, radio) les rend audibles/visibles. L’invisible devient perçu grâce à un outil.

Là encore : invisibles, mais mesurables par leurs effets. Nous n’attrapons pas la gravité avec la main ; nous observons ce qu’elle produit.

L’hypothèse que nous défendons ici n’est pas farfelue : la conscience pourrait être un champ/flux que le cerveau reçoit et traduit, à la manière d’une antenne. Tant qu’elle est branchée sur l’appareil-corps, elle s’exprime en mode terrestre. Quand l’appareil s’éteint, la source ne disparaît pas : elle change de plan de réception.

Oui, modifier le cerveau modifie les perceptions. Mais corrélation ≠ production. Dire “le cerveau fabrique la conscience” n’a jamais été démontré. C’est le fameux problème dur de la conscience : comment de la matière aboutirait-elle à l’expérience subjective (la sensation d’exister, d’aimer, de se souvenir) ?

Si la conscience “passe à travers” le cerveau, alors la mort correspond à l’arrêt de l’antenne, pas à l’extinction de l’émission. La conscience poursuit son parcours via d’autres “véhicules” subtils (corps émotionnel, mental, causal, etc.), que nous décrivons souvent en séance et dans nos contenus.

Des personnes décrivent, cerveau au repos mesurable, des scènes vérifiées : conversations au bloc, détails perçus hors de la pièce, parfois à distance. Une hallucination n’explique pas les perceptions corroborées par des témoins.

Les témoignages concordent d’une culture à l’autre sur des éléments structurants (sensation de décorporation, perspective en hauteur, passage, rencontre, revue de vie…). Les détails récurrents dépassent le seul imaginaire.

Notre pratique nous conduit, chaque semaine, à transmettre des informations concrètes que seules les familles connaissent. Des “petites choses” (surnoms, habitudes, lieux, objets) qui ne s’inventent pas et apaisent parce qu’elles reconnaissent la personne aimée.

Individuellement, chaque cas peut être discuté. Mis bout à bout, sur des décennies et des milliers de témoignages, un motif cohérent apparaît : la conscience ne s’arrête pas net.

Dans la nature, l’eau circule (rivière → vapeur → nuage → pluie → neige → glacier → rivière). Une graine devient arbre, l’arbre meurt, nourrit le sol, relance la vie. Rien ne disparaît, tout change de forme.

Pourquoi serait-elle l’exception ? Pourquoi ce seul phénomène, le plus intime de tous, s’évanouirait-il “dans le néant” au moment précis où l’appareil biologique cesse de capter ?

Le soleil ne se “couche pas” : nous changeons d’angle. La mort pourrait être cela : un changement de point de vue. Pour nous, le proche “disparaît”. Pour lui, l’expérience continue autrement.

L’absence de souvenir n’est pas absence d’expérience. Nous ne nous rappelons pas de nos deux premières années ni du sommeil profond—pourtant nous les avons vécus. Des enfants décrivent des éléments précis antérieurs à leur naissance, parfois vérifiés.

Il n’y a pas (encore) de preuve définitive. Mais l’absence de preuve n’est pas preuve d’absence. Avant le microscope, pas de “preuves” des microbes. On a inventé l’outil… et le monde a changé.

Parfois, oui. Comme un médecin, un chercheur, un prof. L’erreur n’invalide pas l’ensemble d’une discipline. La médiumnité implique un décodage ; il y a des interférences. Mais il y a aussi des réussites troublantes et utiles.

Une hallucination ne livre pas de détails vérifiables à l’extérieur. Les EMI en fournissent parfois, et partout dans le monde des motifs se répètent, au-delà des croyances locales.

Si la conscience continue, alors chaque expérience compte : ce que nous apprenons, aimons, réparons. La meilleure façon d’éviter le regret “après”, c’est de vivre juste maintenant.

Le lien ne se rompt pas : il change de modalité. D’où l’importance, quand c’est juste pour vous, des contacts défunts : non pour retenir, mais pour reconnaître et apaiser.

Les signes, synchronicités, rêves “plus vrais que vrais” ne sont pas des “faiblesses”. Ils participent d’un dialogue que beaucoup d’endeuillés vivent, souvent en secret. En parler, c’est respirer.

Elles ne sont pas une “preuve” au sens strict. Elles sont des indices forts : récits concordants, détails vérifiables, transformations de vie profondes chez les expérienceurs.

Ce n’est pas démontré. Le modèle que nous employons en séance est celui d’un récepteur/traducteur. À la mort, l’émetteur ne s’éteint pas, l’antenne s’arrête.

Parce qu’ils interprètent des informations subtiles avec un cerveau humain. L’essentiel est l’honnêteté de la démarche et la précision des éléments validés par les familles.

Un contact bien encadré, avec intention claire et respect du libre arbitre, n’empêche pas une âme d’avancer. Au contraire, il réconforte vivants et défunts quand le moment est juste.

Un signe utile est significatif, timé, personnel, et souvent improbable. Il parle à vous. Tenez un carnet : les motifs se dessinent dans la durée.

Dire que la conscience s’éteint “parce que l’appareil s’éteint” est moins logique que d’admettre sa transformation. Dans un univers où rien ne se perd, croire que notre dimension la plus intime se volatilise instantanément… c’est peut-être, en réalité, la croyance la plus irrationnelle.

Ce que nous aimons, ne s’arrête pas. Ça continue, autrement. Et ça, pour beaucoup, change la manière de vivre aujourd’hui.

Prenez le temps de jeter un oeil à ces aides précieuses, qui pourraient peut-être débloquer une situation et vous aider à avancer dans votre vie plus sereinement.