Trouvez, grâce à ce soin énergétique intemporel, une aide spirituelle précieuse à utiliser au quotidien.

Il n’est pas toujours évident de se sentir bien au milieu des siens.

L’endroit censé être un refuge, où vous devriez vous sentir en sécurité, choyé et aimé, se transforme malheureusement en un champ de mines émotionnelles. Vous esquivez les regards, hésitez à répondre aux réflexions et critiques répétitives de peur que cela ne dégénère. Vous avez développé l’art de dissimuler vos émotions, un peu comme lorsque, enfant, vous camoufliez discrètement ce morceau de légume spongieux dans votre serviette pendant que votre mère avait le dos tourné. Malgré vos efforts, cette capacité semble s’amenuiser avec le temps, et l’angoisse avant les retrouvailles devient de plus en plus palpable.

Vous en avez assez de jouer la comédie, de subir ces réflexions constantes sur votre vie. Peu importe ce que vous faites, rien n’est jamais suffisant ! Ceux qui vous entourent vous réclament trop, vous culpabilisent pour vos choix, sans comprendre que votre façon de fonctionner diffère simplement de la leur. Ils oublient que vous n’êtes pas responsable d’eux et que vous ne pouvez pas tout gérer. Et bien sûr, il y a ceux qui se permettent de se moquer de vous, de vos souffrances. Une famille qui ne manque jamais d’exprimer son avis, toujours teinté de négativité, sur tout ce que vous entreprenez, même si vous n’avez rien sollicité.

Ah, la « joie » d’être le mouton noir de la famille !

C’est un peu comme remporter une médaille d’or dans une compétition à laquelle vous n’avez jamais souhaité participer. 🏅🙄

Avez-vous une famille toxique ?

Et si oui, comment les gérer, en particulier lors des moments festifs de l’année comme les anniversaires, les baby showers, les anniversaires, Noël et les fêtes de fin d’année ? Comment les gérer si vous vivez activement avec eux ?

J’explorerai toutes ces questions et bien plus encore dans cet article.

Peut-être êtes-vous en conflit avec une personne spécifique, qu’il s’agisse d’un frère ou d’une sœur toxique, d’un parent ou d’un membre élargi de la famille. Ou peut-être avez-vous l’impression que l’ensemble de la famille est profondément dysfonctionnel.

Quelle que soit la situation, des signes clairs méritent votre attention.

Critiques constantes : Difficiles d’échapper à leurs regards désapprobateurs et à leurs réflexions mesquines. Des commentaires négatifs et critiques fréquents sapent votre estime de soi.

Contrôle excessif : Ils essaient de diriger votre comportement. Bien sûr, si vous adoptiez enfin leur comportement attendu, si vous répondiez à leurs demandes et attentes, mais non, vous êtes sûrement trop égoïste pour vous sacrifier un peu et réaliser leurs rêves à eux ! Pourquoi ne pas abandonner toute individualité, renoncer à toute pensée personnelle et simplement devenir le protagoniste non rémunéré de leur film familial ? Après tout, qui a besoin de rêves personnels quand on peut vivre la vie écrite par les autres, n’est-ce pas ?

Manque d’empathie : Absence de compréhension ou de soutien émotionnel envers les membres de la famille en difficulté. Ils se moquent régulièrement de vos émotions et sentiments.

Manipulation émotionnelle : Recours fréquent à la manipulation pour obtenir ce qu’ils veulent, souvent au détriment des autres. Des expressions telles que « Si tu m’aimes, tu pourrais au moins faire cela ? », « J’ai tout sacrifié pour toi », « J’ai enduré des heures de souffrance pour que tu naisses. », ou encore « Tu ne te rappelles pas quand je t’ai prêté de l’argent ? » sont couramment utilisées pour vous faire comprendre que vous ne répondez pas aux attentes. Certains vous excluront de leur vie si vous ne cédez pas, et franchement, n’est-ce pas là le plus beau cadeau qu’ils puissent vous offrir ?

Changement d’humeur imprévisible : Des sautes d’humeur soudaines et imprévisibles, créant un environnement instable.

Secrets et non-dits : Une propension à cacher des informations importantes, créant un climat de non-dits et de secrets.

Violence verbale ou physique : Comportements agressifs, qu’ils soient verbaux ou physiques, créant un environnement intimidant. Vous n’osez pas toujours vous exprimer par crainte de représailles et de l’aggravation de la situation.

Déni des problèmes : Une réticence à reconnaître les problèmes familiaux et à y faire face. Savoir reconnaître ses torts est un luxe qu’ils ne peuvent pas se permettre !

Manque de soutien : Un manque de soutien dans les moments difficiles, laissant les membres de la famille se débrouiller seuls.

Égocentrisme : Une préoccupation excessive pour leurs propres besoins au détriment des autres membres de la famille.

Comparaisons constantes : Une habitude de comparer les membres de la famille les uns aux autres, générant un sentiment de rivalité. Vous comparer à l’autre reviendra très rapidement à vous faire vous sentir minable. Rendez-vous compte ! Il a déjà tellement bien réussi sa vie comparé à vous ! Et si vous ne visiez pas les mêmes objectifs tout simplement ?

Culpabilisation : Une tendance à blâmer les autres membres de la famille pour les problèmes familiaux. Pourquoi travailler sur soi lorsque l’on peut rejeter la faute l’autre ?

Refus d’accepter la diversité : Une intolérance envers les différences individuelles, qu’elles soient culturelles, religieuses ou liées à l’orientation sexuelle. Parce que de leur temps c’était pas comme ça… Parce que ce n’est pas normal d’être ainsi… Il vous faudrait leur rappeler que l’ouverture d’esprit n’est pas une fracture du crâne.

Cycle de répétition : La répétition de schémas dysfonctionnels d’une génération à l’autre, perpétuant les problèmes familiaux. Mes parents me l’ont fait, je ne sais donc pas faire autrement.

Abus de substances (alcool, médicaments sur ordonnance, drogues illicites) : Ce qui entraîne une dynamique néfaste et habilitante dans le système familial. Vous allez parfois chercher à les sauver à tout prix, même si vous risquez de vous perdre à votre tour.

Vos limites ne sont pas respectées et ignorées : Que ce soit physiquement, sexuellement, émotionnellement, mentalement ou même spirituellement. Par exemple, ils pourraient faire des commentaires grossiers sur votre corps, vous toucher de manière inappropriée, ou continuer à utiliser ce surnom ridicule dont on vous a affublé toute votre enfance. Ils se comportent avec vous comme si cela ne comptait pas vraiment.

Vous ne vous sentez pas en sécurité avec eux : Votre système nerveux entre dans un état de combat, de fuite, de figement, ou de gel. En présence de membres de votre famille qui créent un environnement non sécuritaire, ces réponses peuvent se manifester comme une réaction naturelle de protection face à la menace émotionnelle ou physique.

Vampire énergétique : Vous vous sentez épuisé en leur présence, d’autant plus qu’ils ont tendance à se défouler et à se déverser émotionnellement sur ceux qui les entourent.

Combien de ces signes ?

Il n’est pas toujours possible de rompre les liens avec des membres toxiques de sa famille, surtout en cas de dépendances financières, de responsabilités de gardiennage, ou de contraintes liées au logement et à l’emploi.

Dans ces circonstances, préserver sa santé mentale devient d’autant plus essentiel. Et puisqu’il n’est ni légal ni recommandé de pratiquer la technique du « coup de pelle » et d’enterrer tata au fond du jardin, voici quelques conseils issus de mon expérience personnelle et des échanges que j’ai eus avec d’autres personnes confrontées à cette situation difficile :

Adoptez une approche calme et neutre lorsque vous interagissez avec des membres toxiques. Imaginez-vous comme une roche grise, impassible face aux tempêtes émotionnelles, ce qui peut aider à réduire les effets néfastes de leurs comportements. Ce qui amuse et stimule les personnes toxiques, c’est en réalité votre réactivité à leurs propos. Donc, si vous vous rendez ennuyeux à leurs yeux, vous pourrez gagner des moments de paix.

La méthode de la roche grise est principalement une stratégie visant à rendre votre présence si peu stimulante pour la personne toxique qu’elle finira par vous laisser tranquille. Les membres toxiques de la famille tirent leur énergie du drame et des réactions. Lorsque vous les privez de cela, leur intérêt pour vous diminue rapidement.

Pratiquez la méthode de la roche grise en :

• vous rendant complètement ennuyeux
• étant fade et vague dans vos réponses
• ne réagissant pas à leurs réactions
• parlant de sujets ennuyeux

Le but est de prétendre que vous êtes comme une pierre grise ou quelque chose de terriblement inintéressant et sans personnalité.

C’est un peu comme se parer d’un déguisement secret ! Faites ça, et vous serez immunisé contre leur toxicité et leurs drames.

Fixer des limites avec les membres de sa famille qui sont toxiques ne consiste pas à les imposer par la force et par le bruit. Je peux comprendre que vous ayez envie de reprendre le pouvoir par la force, mais là tout va se jouer en subtilité ; vous devrez être plus malin qu’eux. La méthode qui conviendra le mieux et qui sera plus durable consiste à établir des limites claires mais « invisibles ».

Par « invisibles », j’entends garder vos limites silencieuses et presque cachées. Les membres toxiques de la famille détestent généralement toute forme de frontière évidente. Alors, pour éviter l’enfer et les drames, adoptez une approche plus subtile mais plus forte. Imaginez-vous en agent secret, mais au lieu de gadgets high-tech, votre superpuissance réside dans la clarté de vos frontières émotionnelles. Vous érigez des panneaux « Non franchir » dans votre esprit, et lorsque la toxicité approche, vous pouvez discrètement vous retirer, laissant les limites invisibles faire tout le travail.

C’est un peu comme jouer à cache-cache avec les comportements toxiques. Vous, en tant que maître du jeu, décidez quand et où vous apparaîtrez dans ce jeu de cache-cache émotionnel. À chaque retrait subtil, c’est comme si vous marquiez des points pour la préservation de votre bien-être. Les limites invisibles deviennent alors votre allié secret dans la gestion des membres toxiques de la famille.

Voici quelques idées :

1. Apprenez à dire « non » de manière neutre mais ferme. Par exemple, au lieu de dire « Pas question » ou « Non, je ne ferai pas ça », essayez de dire quelque chose comme « Je ne peux pas vous aider aujourd’hui, mais je peux recommander quelqu’un d’autre qui peut » ou « Cela semble intéressant, mais j’ai un autre engagement ce jour-là » ou « J’ai beaucoup de choses à faire en ce moment, mais si mon emploi du temps se libère, je vous le ferai savoir. »

2. Passez moins de temps avec eux. Je sais que cela n’est pas toujours évident, mais par exemple, si vous vivez avec des parents toxiques, vous pourriez trouver un maximum d’activités à l’extérieur pour vous évader. Pensez à l’avenir, construisez votre vie en dehors de cet environnement. Créez une distance physique entre vous et l’autre, par exemple en vous tenant de l’autre côté de la pièce, en vous isolant dans votre chambre.

3. Prévoyez des raisons de partir pour vous donner de l’espace. Il vous faudra faire preuve d’imagination et avoir de bons complices pour monter vos scénarios ! Mais à cœur vaillant, rien d’impossible. Par exemple, vous êtes obligé d’être là pour l’anniversaire du petit cousin, mais vous pouvez prévenir à l’avance que vous ne resterez pas tard car vous aviez déjà fixé un engagement ailleurs. En bon samaritain, vous acceptez malgré tout de venir féliciter le bambin pour ses 5 années. N’hésitez pas à reprendre des forces en utilisant le prétexte des toilettes et même à créer un mot d’alerte avec un ami pour qu’il vous appelle en cas de besoin afin que vous ayez une excuse pour vous éclipser.

4. Croisez les bras et ajustez votre langage corporel pour qu’il paraisse fermé et non ouvert. Lorsque quelqu’un se trouve dans votre espace personnel, reculez ou placez-vous dans la pièce de manière à ce qu’il y ait un objet entre vous et ledit membre toxique de la famille.

Vivre dans un contexte familial toxique va vous faire sentir comme une victime.

Ils vous insultent, vous font honte, vous rabaissent vous et vos sentiments et vous abandonnent émotionellement. S’il est important d’accepter que vous êtes victime de leurs abus, il est également essentiel pour vous de ne pas rester coincé dans une mentalité de victime.

Une mentalité de victime se manifeste par :

• une sensation d’impuissance face à sa vie
• le fait de rejeter la responsabilité sur les autres pour la manière dont votre vie évolue
• l’incapacité à assumer ses propres responsabilités
• l’adoption d’une attitude teintée de victimisation
• la croyance que « tout effort pour résoudre la situation est inutile, car c’est sans espoir. »

Pour développer une conscience de la mentalité de victime et ajuster votre état d’esprit, voici quelques astuces :

• Auto-observation : Prenez du recul régulièrement pour observer vos pensées, émotions et réactions dans les interactions familiales. Essayez de repérer les moments où vous adoptez une mentalité de victime.
• Pratique de la responsabilité : Cultivez l’habitude de prendre la responsabilité de vos émotions et de vos réactions. Au lieu de blâmer les autres, demandez-vous comment vous pouvez influencer positivement la situation ou votre propre bien-être émotionnel.
• Affirmations positives : Utilisez des affirmations positives pour changer votre dialogue interne. Remplacez les pensées de victime par des affirmations qui renforcent votre pouvoir personnel et votre capacité à gérer les défis.
• Développement personnel : Investissez dans des activités de développement personnel, comme la méditation, la thérapie, ou la lecture de livres inspirants. Ces pratiques peuvent vous aider à renforcer votre résilience émotionnelle et à développer une perspective plus positive.
• Évitez le langage de victime : Faites attention à votre langage verbal. Évitez les expressions qui renforcent une mentalité de victime, telles que « je n’ai pas le choix » ou « c’est toujours comme ça pour moi ». Optez plutôt pour un langage affirmatif qui reflète votre capacité à faire des choix et à influencer votre propre expérience.

Je sais que ce n’est pas un travail facile et que cela demande du temps, mais ne permettez pas aux membres toxiques de votre famille d’avoir un impact démesuré sur votre vie, sur la valeur que vous avez à vos yeux. Reprenez le contrôle de votre état d’esprit et découvrez des moyens de vous sentir maître de votre vie et de votre bonheur.

« Vous ne pouvez pas changer les vents, mais vous pouvez ajuster vos voiles. » – Confucius

Si nous reprenions cette histoire au tout début, au vrai départ, nous verrions votre âme discuter avec ses Guides et les Êtres Essentiels des futurs membres de sa famille discuter ensemble. Mais de quoi pourriez-vous être en train de parler ? De cette future incarnation et de ses conditions. On ne s’incarne pas dans une vie que nous ne sommes pas capables de gérer. Alors, cela ne veut pas dire que tout doit paraître évident et que vous devez traverser cela avec facilité sans jamais baisser les bras. Mais que vous avez en vous les ressources nécessaires pour réussir à traverser cela et surtout en sortir plus fort et grandi.

Ce chemin douloureux est votre choix, pour l’expérience vous en avez décidé ainsi.

J’ai personnellement mis du temps à trouver ma place. Tous les membres de ma famille ne sont pas toxiques, mais certains l’ont été pour moi, que ce soit physiquement ou moralement. Mon besoin intense de leur amour a atteint un point où je devenais toxique moi-même, cherchant désespérément à être vu et aimé. Ce besoin m’a transformé de manière peu glorieuse, comme un venin acide coulant en moi et émergeant à travers mes paroles.

Le processus de guérison a été long, mais j’ai appris à m’aimer suffisamment pour ne plus dépendre de l’approbation des autres. J’ai enfin accepté la personne que je suis, différente mais pas si mal ! Comprendre que me rejeter moi-même était bien pire que d’être rejeté par eux a été une révélation. J’ai fait le choix de m’accepter, malgré leur abandon, et mon bonheur n’a fait que croître depuis ce moment.

Tout mon chemin douloureux s’est révélé être ma plus grande évolution. En regardant en arrière, je peux maintenant voir le travail accompli, et je n’en suis pas peu fière. J’ai perdu certaines personnes, avec plus ou moins de douleur, mais la vie m’a aussi permis de rencontrer des personnes incroyables.

Je ne pouvais pas modifier complètement ce qui me faisait souffrir, surtout étant si jeune, mais en grandissant, j’ai voulu me concentrer sur ce sur quoi j’avais du pouvoir. Vous pouvez faire de même, en comprenant que la douleur, dans ce cas de figure, n’est pas due à la chose elle-même, mais à l’importance que vous lui donnez. Et vous avez le pouvoir de changer cela à tout moment !

Lorsque ce sont nos plus proches qui ne répondent pas à nos attentes, cela peut être difficile à encaisser. Nous grandissons avec l’idée qu’il est normal, voire évident, d’aimer les membres de sa famille. Les modèles familiaux sont simples : dans une famille, on s’aime, on s’entraide et on se protège. Lorsque l’on grandit dans un schéma différent, nous avons tendance à tout faire pour mériter cet amour, remettant sans cesse en question notre valeur. On idéalise et fantasme l’amour familial, perdant une énergie folle à tenter d’atteindre ce rêve.

Comprendre que cette image n’est ni réaliste ni réalisable va être un long travail. Un chemin de deuil semé d’embûches, mais si vous enfilez les bonnes chaussures, vous serez capable de le parcourir. Vous vous éloignerez de ces personnes qui ne vous aiment pas à votre juste valeur, mais vous ferez la rencontre d’une personne incroyable : VOUS !

Vous comprendrez que ce n’est pas vous qui n’êtes pas assez bien pour cet amour, mais que ce sont ces personnes qui ne sont pas capables de vous aimer correctement, que ce soit par leur propre volonté ou simplement parce qu’ils ne sont pas capables.

Construire une vie qui « remplit votre tasse » signifie consciemment investir du temps et de l’énergie dans des activités et des relations qui apportent de la joie, du soutien et un équilibre émotionnel. L’idée est de créer un environnement positif qui compense les aspects négatifs liés à la toxicité familiale. Voici comment vous pouvez développer cette approche :

1. Identifiez vos passions et centres d’intérêt : Explorez ce qui vous passionne et vous procure du plaisir. Cela peut être une activité artistique, un passe-temps, une discipline sportive, ou même une cause sociale. L’objectif est de trouver des éléments qui vous inspirent et vous élèvent. Et si vous n’avez aucune idée de ce qui pourrait vous plaire, alors partez en exploration !

2. Entourez-vous de relations positives : Cherchez des relations qui vous soutiennent émotionnellement. Cela peut inclure des amis proches, des mentors, ou d’autres membres de la famille qui ne contribuent pas à la toxicité ambiante. Créez des connexions basées sur la compréhension mutuelle et le respect. Si vous ne trouvez pas cette personne dans votre entourage proche, vous pouvez trouver des groupes de soutien et d’échange, aussi bien en personne que virtuellement.

3. Établissez des limites saines : Apprenez à dire non lorsque c’est nécessaire et à définir des limites claires. Cela inclut non seulement les membres toxiques de la famille, mais aussi d’autres relations ou activités qui pourraient vous drainer émotionnellement. Comme précisé précédemment, vous pouvez les établir de manière invisible.

4. Priorisez votre bien-être : Prenez soin de votre santé physique et mentale. Pratiquez la pleine conscience, l’exercice régulier et accordez-vous des moments de détente. Une vie équilibrée sur le plan physique et émotionnel contribue à renforcer votre résilience face à la toxicité.

5. Fixez des objectifs personnels : Développez un ensemble d’objectifs personnels qui vous motivent. Cela peut inclure des objectifs professionnels, éducatifs, ou des réalisations personnelles. Avoir des objectifs clairs peut donner un sens à votre vie et vous aider à rester concentré sur des aspects positifs.

6. Pratiquez la gratitude : Prenez l’habitude de reconnaître et d’apprécier les aspects positifs de votre vie. Tenir un journal de gratitude peut vous aider à vous concentrer sur les moments heureux, même dans des circonstances difficiles.

En construisant une vie qui vous nourrit émotionnellement, vous renforcez votre résilience et créez un contrepoids aux défis posés par la toxicité familiale. Cela peut contribuer à vous donner un sentiment de contrôle sur votre propre bien-être, indépendamment des influences négatives.

Cherchez du soutien à l’extérieur de la famille toxique. Entourez-vous d’amis, de partenaires ou de groupes de soutien qui comprennent votre situation et peuvent vous offrir un réseau de soutien solide.

Il est essentiel de créer des liens avec des personnes qui comprennent votre vécu et peuvent vous apporter un soutien émotionnel. Les amis proches, les partenaires de confiance ou les groupes de soutien peuvent jouer un rôle crucial dans votre bien-être. Ils peuvent offrir un espace où vous vous sentez compris, écouté et soutenu.

En construisant un réseau en dehors de la sphère toxique, vous renforcez vos ressources émotionnelles et vous vous donnez la possibilité d’échanger avec des individus bienveillants. Ces relations saines contribuent à votre épanouissement et fournissent un contrepoids essentiel aux dynamiques négatives de la famille toxique.

N’oubliez pas que vous avez des énergies de l’autre côté qui sont là pour vous aider et vous soutenir. Votre Être Essentiel, vos Guides, ils sont présent pour vous et ne vous laisseront pas tomber.

Pour rappel, juste au cas où :

L’Être Essentiel est la partie de votre âme non incarnée. Elle n’a pas subi le voile de l’oubli lié à l’incarnation et dispose d’un maximum d’outils pour vous aider et vous guider.

Vos Guides sont des âmes qui sont à la Lumière et qui ont choisi de vous guider pour l’expérience que vous traversez. Ils changent au fur et à mesure de votre incarnation et de vos besoins. Ils ont forcément déjà été incarnés et comprennent ce que vous traversez.

Pratiquer l’art de la communication assertive est une compétence précieuse pour naviguer dans des relations familiales toxiques. Elle viendra compléter les limites invisible au fur et et à mesure de votre évolution. L’objectif de cette approche est de vous permettre d’exprimer vos besoins et vos limites de manière claire, directe et respectueuse. Voici quelques points à considérer lors du développement de cette compétence :

Clarté dans l’expression : Lorsque vous communiquez, soyez précis et clair quant à ce que vous ressentez, pensez ou attendez. Évitez les généralités et exprimez-vous de manière spécifique.

Utilisation du « Je » : Formulez vos messages en utilisant des déclarations commençant par « Je » plutôt que « tu ». Cela évite de paraître accusateur et met l’accent sur vos propres sentiments et expériences.

Écoute active : La communication assertive ne se limite pas à l’expression de soi, mais inclut également l’écoute attentive. Soyez ouvert à entendre les points de vue des autres tout en maintenant vos propres limites.

Maintien du respect mutuel : L’objectif n’est pas de créer des conflits ou d’empirer ceux déjà existant mais plutôt de définir des limites de manière respectueuse. Évitez les attaques personnelles et restez centré sur le problème plutôt que sur la personne.

Soyez assertif, pas agressif : Il est important de trouver un équilibre entre s’affirmer et rester respectueux. Évitez d’être agressif, mais ne vous laissez pas non plus manipuler ou piétiner.

Entraînement à la gestion des émotions : Avant d’engager une conversation difficile, prenez le temps de réguler vos émotions. La communication assertive est plus efficace lorsque vous êtes calme et centré.

Répétition et ajustement : La communication assertive est une compétence qui s’améliore avec la pratique. Soyez prêt à ajuster votre approche en fonction des réponses et des résultats.

C’est un subtil équilibre entre « savoir remettre en question ses propres actions » et « rester ferme dans ses décisions ». Vous êtes le seul à pouvoir évaluer cette nuance. En développant ces compétences, vous serez mieux armé pour établir des frontières saines avec les membres toxiques de votre famille tout en préservant le respect mutuel. Il est important de noter que cette approche n’est malheureusement pas toujours efficace, car elle dépend de la disposition de l’autre personne à évoluer. Si cela ne fonctionne pas, sachez que la responsabilité de l’échec ne vous incombe pas seul.

C’est une étape essentielle pour renforcer votre résilience face à la toxicité familiale. Il s’agit de vous accorder de la compréhension, de l’amour et du soutien, comme vous le feriez pour un ami cher.

Commencez par reconnaître vos propres émotions et sentiments, sans les juger. Acceptez que ressentir de la douleur, de la tristesse ou de la colère dans un environnement toxique est une réaction humaine naturelle. Accordez-vous la permission de ressentir ces émotions sans culpabilité.

Ensuite, soyez bienveillant envers vous-même. Évitez de vous critiquer de manière excessive et remplacez les pensées négatives par des affirmations positives. Par exemple, au lieu de vous dire que vous êtes faible, rappelez-vous que vous êtes résilient et courageux de faire face à une situation difficile.

En fin de compte, la compassion envers vous-même vous permettra de développer une base solide pour affronter la toxicité familiale. En comprenant que vous méritez d’être traité avec respect, vous renforcez votre estime de soi et votre capacité à résister aux influences négatives de votre environnement familial.

Explorer des techniques de gestion du stress est crucial lorsque vous faites face à des membres toxiques dans votre famille. La toxicité peut engendrer un climat émotionnel lourd, mais en développant des méthodes pour gérer le stress, vous pouvez renforcer votre équilibre émotionnel. Voici quelques conseils pour approfondir ce point :

Méditation : La méditation est une pratique puissante pour apaiser l’esprit et réduire le stress. Elle vous aide à rester centré et calme, même face à des situations difficiles. Commencez par des séances courtes et progressez au fur et à mesure. Vous pourrez d’ailleurs trouver plusieurs méditations guidées et soins intemporel sur notre chaine Youtube.

Respiration profonde : La respiration profonde est une technique simple mais efficace. Prenez le temps de respirer profondément, en remplissant vos poumons d’air lentement, puis expirez doucement. Cela peut être pratiqué n’importe où et à tout moment pour réduire instantanément le stress.

Exercice physique : L’activité physique régulière est un moyen excellent de libérer les tensions accumulées. Que ce soit une promenade, une course, du yoga, ou toute autre activité que vous aimez, l’exercice stimule la libération d’endorphines, améliorant ainsi votre humeur.

Yoga : Le yoga combine la méditation, la respiration consciente et des poses physiques pour promouvoir le bien-être physique et mental. Il offre également une pause dans votre journée pour vous recentrer.

Journaling : Écrire dans un journal peut être thérapeutique. Exprimez vos émotions, vos pensées et vos expériences. Cela vous permet de prendre du recul et de mieux comprendre vos réactions face à la toxicité familiale.

Pratiques de pleine conscience : La pleine conscience consiste à rester pleinement présent dans le moment actuel. Cela peut être réalisé par des exercices de pleine conscience formelle ou informelle, comme manger consciemment ou écouter de la musique attentivement.

La Gestion du Temps : Établissez des priorités et organisez votre temps de manière à inclure des moments de détente. Cela peut aider à réduire le sentiment d’urgence et de stress constant.

Les Activités Relaxantes : Trouvez des activités qui vous détendent, que ce soit la lecture, l’écoute de musique apaisante ou la pratique de loisirs créatifs.

En explorant ces techniques et en les intégrant dans votre routine quotidienne, vous développerez des outils puissants pour faire face au stress lié à la toxicité familiale. Ces pratiques contribuent à maintenir votre équilibre émotionnel et à renforcer votre résilience face aux défis familiaux.

Vous ne vous en sentez peut-être pas capable, vous vous dites peut-être que vous n’êtes pas suffisamment « grands » pour réussir, mais je vous assure que c’est à la portée de chacun. Bien sûr, plus votre énergie est haute, plus le soin aura un impact. Mais n’oubliez pas que vous ne serez pas seul, vos Guides et votre Être Essentiel seront présents pour vous guider au travers de cet exercice. Vous pouvez utiliser le soin énergétique intemporel que je crée précisement pour ce genre de situation. Vous le trouverez en haut de l’article.

Choisissez un moment et un endroit où vous savez que vous ne serez pas dérangé. La douche en est un bon exemple. Prenez le temps de vous détendre, d’observer votre corps, la façon dont il se tient, ce qui entre en contact avec celui-ci. Maintenez votre respiration, remarquez comment votre corps se détend à chaque inspiration et expiration. Laissez le flot de vos pensées se calmer, sans les juger, et laissez-les passer. Une fois exprimées, elles n’auront plus besoin de revenir et vous laisseront un moment de paix.

Maintenant que vous êtes au calme, posez une intention précise, par exemple : « Je veux être nettoyé de toute cette énergie toxique », « Je veux guérir cette blessure », « Je veux m’aimer davantage »… Posez l’intention qui vous semble importante sur le moment et laissez faire les choses. Vous pourriez voir des images, entendre des mots, ressentir un amour profond, ou même de la colère ou de la tristesse au point d’en pleurer. Restez bienveillant envers vous-même et tout ce qui va ressortir.

Plus vous vous entraînerez, plus vous serez efficace. Donc, on ne se décourage pas et on continue à apprendre.

Dans toutes ces méthodes, ce qui va vraiment compter est votre intention. Aucun de ces exercices n’est magique, vous devrez être persévérant dans votre pratique. Acceptez que les résultats au départ seront parfois décevants pour qu’ils puissent s’améliorer ensuite.

Vous êtes peut-être dans l’impossibilité de vous éloigner physiquement des personnes toxiques, mais rassurez-vous, cela ne durera pas toujours. Cette situation, votre position, ne sont pas définitives. Un jour, vous aurez la possibilité d’établir vos règles et de choisir le climat familial et amical que vous souhaitez voir dans votre vie.

Je voudrais que vous sachiez que vous n’êtes pas seul à traverser ce genre d’épreuve, c’est une promesse. Vous pouvez avoir la sensation d’être seul au monde, que rien ne va dans votre sens, que la vie vous a abandonné, alors qu’en réalité, vous êtes sur un chemin d’apprentissage. Apprendre à poser vos limites, à évoluer dans un climat toxique sera très instructif pour vous. Qu’est-ce qui pourrait bien vous arrêter après cela ?