Mon être cher a-t-il souffert lors de sa transition ?
La mort n’est qu’un passage, une transition vers une autre forme de vie. Elle n’est pas la fin, mais plutôt le début d’une nouvelle aventure.
Nombreuses sont les personnes à ressentir une profonde inquiétude et douleur et se posent la question :
« Est-ce que mon être cher a souffert lors de sa transition vers l’Autre Côté ? »
Nous entendons souvent cette préoccupation chez nos consultants.
Je vais donc te dire ici ce que les défunts nous rapportent de leur transition.
Ton proche défunt a-t-il souffert lors de sa transition ?
Pour te donner une idée de ce qui se passe lors de cette transition, réfléchis à ceci : as-tu déjà vécu une situation extrêmement surprenante, effrayante, voire traumatisante ?
As-tu eu l’impression, tout d’un coup, de ne plus être là ? Ou bien tu t’es rendu compte que tu ne te souvenais pas de tout ce qui s’était passé ?
Si tel est le cas, alors ce qui s’est produit à ce moment-là, c’est que ton âme s’est brièvement détachée. Toutefois, elle n’est pas complètement déconnectée de toi. Elle agit ainsi parce que nous n’avons pas toujours besoin de ressentir pleinement le traumatisme que nous pourrions traverser.
En réalité, j’ai vécu exactement ce scénario quand j’étais dans la vingtaine, lors d’un grave accident de voiture. En mettant un coup de volant pour éviter deux chevreuils sur les petites routes de campagne à 1 km de chez moi, j’ai décollé d’un talus avant de faire plusieurs tonneaux et de glisser sur le toit sur une cinquantaine de mètres.
Eh bien, heureusement, je ne suis pas mort.
Mes premiers souvenirs sont sur la table d’opération.
Je ne me rappelle pas que ma voiture ait glissé hors de la route. Je ne me souviens pas qu’elle ait fait plusieurs tonneaux.
En fait, je ne savais même pas exactement ce qui s’était passé.
Je ne me souviens pas avoir donné autant de réponses justes à mes amis me tenant éveillé.
Je n’ai aucun souvenir non plus des pompiers découpant la voiture pour me sortir, des policiers, ou de mon père venu sur place.
Juste avant l’accident, je l’ai vu arriver littéralement, pas psychiquement. Mais soudain, c’était comme si j’étais « entre les deux ».
Maintenant, on sait bien que les accidents se produisent en quelques secondes. Mais je n’en avais aucun souvenir. Malgré que j’étais scalpé à la tête et que j’ai reçu plus de 50 points de sutures plus tard, je n’étais ni assommé ni inconscient.
Ce n’est que bien des années plus tard, après avoir développé ma médiumnité, que j’ai vraiment compris ce qui m’était arrivé.
Lors de mes canalisations pour mes consultants, j’ai entendu maintes fois des esprits me dire qu’ils n’avaient pas souffert lors de leur transition.
Peu importe comment ils ont traversé cette transition, ils n’ont pas ressenti de souffrance.
Bien sûr, chaque passage est unique.
Il existe de nombreuses façons différentes par lesquelles les gens accèdent au monde des esprits. Pour certains, c’est violent, tandis que d’autres passent après une longue maladie ou de vieillesse.
J’ai eu des défunts qui m’ont partagé qu’ils se sentaient très mal à l’aise pendant leur maladie, endoloris, souffrants, etc.
Je ne dis pas que les gens ne ressentent ni douleur ni inconfort.
Cependant, cette douleur ou souffrance se situe avant la transition. Ils ne décrivent pas le moment de la transition elle-même comme étant douloureux, difficile ou souffrant.
Cela vaut même lorsque quelqu’un a connu une mort traumatisante, comme un accident. Ou lorsque les gens décident de faire délibérément leur transition par eux-mêmes.
Même dans ces cas, ils ne parlent pas de souffrance lors de la transition. En réalité, ils diront souvent : « Je n’ai pas souffert comme tu le penses ».
Ces paroles sont essentielles. Écoute attentivement :
« Je n’ai pas souffert comme tu le penses. »
Prends vraiment conscience de ces mots.
Sinon, tes pensées et ton imagination t’emmèneront ailleurs, quelque part de très difficile. Surtout si tu entres dans une pièce et que tu découvres un souvenir très traumatisant avec ton être cher.
Je n’ai pas souffert comme tu le penses.
Ce que nous avons compris, Cindy et moi, au fil des nombreux contacts avec les défunts, c’est que nos proches de l’Autre Côté essaient de supprimer les images et les souvenirs douloureux et traumatisants de nos esprits.
Ils veulent détourner notre attention de leur transition vers leur vie, leur vitalité et leur bonté.
Ils veulent que nous nous souvenions de leurs aspects sains. Tu sais, les bons moments, les moments drôles. Les moments où ils ont partagé leur essence avec les autres, montrant qui ils étaient avant leur transition.
Avant une maladie qui les a changés d’une manière ou d’une autre.
Avant les problèmes de toxicomanie, de dépression, des troubles de santé mentale, des lésions cérébrales, de démence… avant l’un de ces éléments.
Ils veulent qu’on se souvienne d’eux en dehors de ces événements.
Ils n’emportent pas la maladie avec eux là-bas.
Ton proche n’a pas souffert lors de sa transition vers l’Autre Côté. 💙
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